UGA : vers des avancées pour votre qualité de vie au travail

Le Sgen-CFDT est heureux qu'un accord QVT avec des perspectives concrètes ait été signé à l'UGA. Nous serons bien sûr vigilants sur sa mise en œuvre !

Le Sgen-CFDT, comme les autres organisations syndicales de notre établissement (une organisation s’est abstenue) a approuvé l’accord-cadre pour la qualité de vie au travail (QVT) de l’UGA (voir la communication de l’UGA sur son site intranet). Cet accord, s’est appuyé sur la conférence sociale de juin 2017 dans laquelle nos représentants se sont investis et sur les résultats de l’enquête QVT de janvier 2017 auprès des personnels de notre établissement.

Cette enquête avait été élaborée par un groupe projet comportant des représentants du personnel, au sein duquel nous avons été force de proposition en nous appuyant notamment sur l’expérience de notre propre enquête QVT organisée durant l’été 2016 (vous pouvez retrouver les résultats de cette enquête à laquelle plus de 600 d’entre vous avaient répondu).

Nous considérons que cet accord, bien évidemment perfectible — par exemple en ce qui concerne la mise en œuvre du droit à la déconnexion, que nous souhaitons ne pas être coercitive — et nécessitant surtout d’être accompagné par l’annonce de moyens permettant la mise en œuvre des actions annoncées dans ce cadre, est une étape importante dans le dialogue social de notre établissement permettant d’acter des avancées significatives à l’orée de nouvelles réorganisations dans le contexte de l’Université intégrée.

Quelques actions phares de l’accord-cadre

Parmi les 60 actions de l’accord-cadre, on retiendra notamment :

  • Le déploiement du télétravail expérimenté sur la période 2017/2018 qui a permis à 109 personnes de travailler à distance
  • La création d’une charte des temps pour améliorer la gestion du temps au travail dans toutes ses dimensions en tenant compte des nouveaux outils et de l’emprise du numérique
  • L’élaboration d’un parcours de formation à l’entrée dans la carrière d’enseignant-chercheur
  • Le renforcement du dispositif de veille et de prise en charge des situations de RPS (risques psycho-sociaux)
  • L’adoption d’un dispositif de veille et de lutte contre les violences sexuelles et sexistes
  • Le lancement d’études de faisabilité pour une crèche et une maison des personnels
  • L’accompagnement plus poussé des agents en reprise à la suite d’une absence pour raison de santé

Pour chaque action, un pilote a été identifié en raison de son champ de compétences dans le domaine et a été mandaté via une lettre de mission signée par la présidence. Chaque pilote devra rendre compte de l’état d’avancement des actions devant le Comité de prévention.